Il y a plus d’un an maintenant, j’ai eu la chance d’aller un mois à Madagascar, enseigner le montage.
Une grande expérience de partage, j’ai souvent entendu des enseignant dire tout ce qu’ils avaient appris au contact de leurs élèves, mais je n’ai pu en comprendre le sens qu’en y étant confronté à mon tour.
Le fait d’avoir à transmettre une expérience qui nous constitue, de rendre lisible par la parole des concepts, des sentiments parfois profonds concernant le montage, n’est pas aisé.
C’est un exercice sur soi, ça pointe les incohérences de nos discours face à des questions sybillines des étudiants.
L’enjeu de la formation était d’associé sur un temps court un enseignement à la fois théorique et pratique.
Nous avons débuter par l’élaboration d’un montage d’un court métrage : « The Pianoman » d’un des étudiants de la formation qui a servit de fil conducteur à toute les étapes du montage.
D’enjeu pragmatiques, nous avons pu arrivé des questions plus théoriques tel que la place du spectateurs, le point de vue.
J’ai écrit des notes d’enseignements, un peu éparses qui me servaient de guide pour les cours que je leur est transmis ici :
https://docs.google.com/document/pub?id=1MeZJqPtgziWc5J8Km71OkZoiRfQZlicTRU9effV
Cette formation à été initié par l’institut francais à Antananarivo et les rencontres du films court de Madagascar,
dont je remercie en particulier, l’investissement constant de son directeur Laza.