Un photographe qui se distingue, je l’avais découvert il y a un moment avec son livre sur « benares, la fin d’un voyage ». Cet homme perpetue un regard en noir et blanc, rare et qui fonctionne sur le temps, temps d’exposition mais temps de réflexion aussi. C’est cette prise de temps qui m’a frappé retrospectivement lors d’une discussion avec mon père sur les photo que j’ai montré recemment de wayne Levin.
Je reviens a michael Ackermann, photographe membre de l’agence VU, on trouve peu d’information sur lui, il produit peu et pourtant il travaille depuis longtemps. J’avais montré ses photos sur un précédent article, et j’en ai vue des nouvelle la semaine dernière lors d’une exposition commune organisée par l’agence VU. Et c’est encore lui qui se distingue dans l’ensemble, sans lire son nom à nouveau ses images me touchent, il a une accointance avec le récit, un travail sur la forme très abouti, et un regard personnel.